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Aujourd’hui 11 avril, c’est la journée mondiale de la Maladie de Parkinson : l’occasion pour votre opticien de vous parler des symptômes visuels associés à cette pathologie… La Maladie de Parkinson, qui associe changements neurologiques et troubles musculaires, peut affecter les yeux des patients de différentes façons. Certains peuvent avoir des difficultés à bouger les yeux, voir flou ou trouble ; d’autres des problèmes pour discerner les couleurs, une mauvaise vision périphérique, ou ressentir une sécheresse oculaire. Enfin, les paupières peuvent se refermer involontairement, notamment lorsque la personne parle. N'hésitez pas à consulter votre ophtalmologue si vous êtes concernés !

Même s’il arrive en réalité de plus en plus tôt, c’est bien le 21 mars que commence chaque année officiellement le printemps ! Pourquoi ne pas opter pour des nuances vertes ou pastel lors du choix de vos prochaines lunettes, afin d’être en harmonie avec les couleurs de la nature ? L’occasion peut-être aussi de vous tourner vers des matériaux plus écologiques… Également, les lunettes à clips ou les verres de transition (photochromiques) vous permettront de ne pas être ébloui lors de ces journées où le temps change rapidement. Autant de bonnes raisons de filer chez votre opticien dès l’arrivée de la belle saison !

Nous sommes nombreux à conserver nos anciennes lunettes, que ce soit par prévoyance ou manque d’informations sur leur recyclage. Plutôt que de les laisser à l’abandon, différentes alternatives existent. Les opticiens récupèrent vos montures afin de les envoyer à des associations qui redonnent à ces dernières une seconde vie. Nettoyées puis remises en état, elles sont ensuite distribuées à des personnes dans le besoin. Une autre façon de faire un geste pour la planète ? Investir dans des lunettes faites avec des matières écologiques ! Certains matériaux comme le bio-acétate peuvent être réalisés avec des produits recyclés, tout en étant recyclables. Voilà un moyen simple et responsable de se faire plaisir !

L’homme et la femme ont de nombreux points communs, mais aussi de multiples différences qui ne sont parfois mises en évidence qu’avec des études poussées. Les résultats montrent notamment que les femmes sont plus touchées par des problèmes de vue que les hommes, que cela soit pour la myopie, la cataracte, la dégénérescence maculaire liée à l’âge, ou encore la cécité. L'écart observé peut être attribué en grande partie à une longévité plus importante chez la femme, ainsi qu'aux variations hormonales associées à des événements tels que la grossesse ou la ménopause. Connaître ses différences permet d’agir plus efficacement en assurant une prise en charge adéquate.

Le 4 mars, c’est la journée mondiale de l’obésité : l’occasion de rappeler que l’excès de poids peut entraîner un certain nombre de troubles de la vision… Tout d’abord, celle-ci provoque souvent de l’hypertension artérielle, facteur de glaucome. Par ailleurs, le diabète étant plus fréquent chez les personnes en situation d’obésité, il faut surveiller l’apparition de rétinopathie diabétique. Ces deux troubles visuels sont à l’origine de basse vision s’ils ne sont pas pris en charge correctement : il est donc particulièrement important que les bilans visuels soient plus fréquents en cas d’obésité, afin de surveiller leur apparition !

Grâce aux progrès de la médecine, de nouvelles solutions et de nouveaux traitements sont découverts chaque année pour protéger notre vue. Si la myopie, la presbytie ou la cataracte sont la priorité des chercheurs, certains organismes ont fait le choix d’apporter leurs connaissances ailleurs, notamment du côté des pathologies rares… Depuis maintenant 16 ans, l’Institut de la Vision propose lors de la Journée internationale des maladies rares des actions de prévention, d’information, ainsi que des campagnes de soin auprès des personnes atteintes de maladies orphelines. Grâce à cette vitrine, l’organisme peut lever des fonds de recherche amenant à la découverte de nouveaux traitements !

Vous êtes de grands romantiques, et pensez que l’amour de votre vie vous tombera dessus au coin de la rue ? Peut-être avez-vous besoin de lunettes pour s’apercevoir qu’il est juste sous votre nez… Vous êtes plus modernes et comptez sur internet pour faire des rencontres ? N’oubliez pas des verres anti lumière bleue, pour ne pas épuiser vos mirettes devant votre écran… Et si vous êtes déjà en couple, il n’est jamais trop tard pour renouveler la flamme en changeant de style : plus de couleurs, des formes qui vous donnent un nouveau visage, il y a mille moyens de vous faire beau ou belle pour celui ou celle que vous aimez ! A tous, votre opticien souhaite une joyeuse Saint-Valentin !

Malgré leur sous-représentation, les femmes ont toutes leur place dans le milieu des sciences. Aujourd’hui, nous mettons sur le devant de la scène deux d’entre elles pour leur contribution dans le domaine de la vision ! Franceline Ribard, la pionnière Née à Chagny en 1851, Franceline Ribard, a accompli de nombreuses prouesses à une époque où l’éducation secondaire et l’enseignement supérieur étaient presque uniquement réservés aux hommes. Elle a en effet réussi les concours des baccalauréats de lettres et de sciences, avant de brillamment terminer ses études de médecine, faisant d’elle la deuxième femme médecin française et la première ophtalmologue. Patricia Bath, l’inventrice Le parcours de l’Américaine Patricia Bath est d’une rare richesse. Ophtalmologue devenue professeure, elle a notamment brillé pour son invention révolutionnaire : l’opération de la cataracte par laser avec la sonde Laserphaco. Son appareil est aujourd’hui utilisé dans le monde entier ! Il y a évidemment bien d’autres figures illustres, comme Sarah Matter et le périscope, ou encore Katharine Burr Blodgett et le verre transparent. Chacune de ses femmes est la preuve que la science a besoin d’esprits brillants, indépendamment de leur genre !